Un trésor d’informations recueillies
Plus précisément, selon les plaignants, les outils d’analyse, les cookies et les applications de Google permettaient à l’unité Alphabet de surveiller l’activité des utilisateurs même lorsqu’ils activaient le mode de navigation privée ou incognito. Selon l’accusation, cette mesure a transformé Google en un “trésor d’informations”, permettant à l’entreprise de connaître les amis, les passe-temps, les plats préférés, les habitudes d’achat et même les “choses potentiellement embarrassantes” qu’ils recherchent en ligne.
Toutefois, les avocats de l’entreprise et des consommateurs seraient parvenus à un accord préliminaire, ce qui a incité la juge de district américaine chargée de l’affaire, Yvonne Gonzalez Rogers, à ajourner le procès prévu pour le 5 février.
Les termes de l’accord n’ont pas été divulgués, mais les avocats ont déclaré qu’ils avaient convenu d’un délai contraignant par le biais de la médiation et qu’ils prévoyaient de soumettre un accord formel à l’approbation du tribunal d’ici le 24 février 2024. Le juge avait rejeté une première demande de non-lieu en août. (reproduction confidentielle)