Vivre sans travailler est un rêve partagé par beaucoup et c’est une question qui suscite curiosité et envie. L’idée est de générer des revenus passifs et de réduire ses dépenses pour atteindre une indépendance financière. Pourtant, atteindre ce mode de vie n’est pas réservé à l’élite de la population.Il est possible pour tout un chacun de s’émanciper du travail traditionnel, à condition d’adopter les bonnes stratégies et d’avoir une planification rigoureuse.

Pourquoi les Français souhaitent vivre sans travailler ?

Le désir d’une meilleure qualité de vie

De nombreux Français expriment un désir croissant de vivre sans travailler pour améliorer leur qualité de vie. La surcharge de travail et le stress sont des facteurs majeurs. En effet, environ 60 % des Français estiment que leur charge de travail a augmenté ces dernières années, malgré un nombre stable d’heures de travail. Ce sentiment de surcharge est lié à un manque de soutien, une forte charge psychique et une faible autonomie au travail, peu importe la catégorie socioprofessionnelle.

La retraite anticipée et le frugalisme

Beaucoup de Français aspirent également à une retraite anticipée. Une grande partie préfère partir plus tôt, même avec une pension réduite, pour profiter de la vie avant que des problèmes de santé n’apparaissent. Le frugalisme est une autre tendance, où les individus adoptent un mode de vie simple et économe pour épargner suffisamment et cesser de travailler plus tôt.

En réduisant drastiquement leurs dépenses pour se concentrer sur le strict nécessaire (par exemple, éviter les prêts à la consommation ou bien privilégier les biens d’occasion) et en épargnant et en investissant judicieusement, les frugalistes visent à accumuler un capital suffisant pour générer des revenus passifs.

Vivre sans travailler : quelques idées de source de revenus passifs

Atteindre une indépendance financière sans devoir travailler est un objectif réalisable grâce à diverses sources de revenus passifs. Les revenus passifs sont des gains générés avec peu ou pas d’effort continu. Ils permettent de se libérer des contraintes d’un emploi traditionnel et de profiter de plus de temps libre.. Voici un tableau récapitulatif des principales sources de revenus passif avec leur rendement estimé, leur niveau de passivité, et le niveau de risque associé.

Type de revenu passif Rendement estimé Niveau de passivité de l’investissement Niveau de risque
L’investissement immobilier locatif 4% à 10% annuel Modéré à passif Modéré (variation du marché immobilier)
L’épargne 0.5% à 2% annuel Très passif Très faible (garanti par les banques)
L’investissement en bourse 7% à 10% annuel Modéré (surveillance périodique) Modéré à élevé (selon diversification)
Les crypto monnaies Très variable, potentiellement élevé Passif après achat initial Très élevé (volatilité importante)
Le marketing d’affiliation 5% à 30% des ventes générées Modéré (nécessite une audience régulière) Faible à modéré (dépend de l’audience)
La création de contenu en ligne Variable, selon les vues Modéré à passif (contenu initial à créer) Modéré (dépend du trafic et des plateformes)
La vente de produits numériques Variable, selon le prix de vente Passif après création initiale Faible à modéré (marché concurrentiel)
L’e-commerce Variable selon les produits et la stratégie Modéré à passif Modéré (concurrence et logistique)
Le Private Equity 8% à 15% annuel Passif après investissement initial Élevé (risque d’échec des entreprises)

1. L’investissement immobilier locatif

En plus des revenus locatifs, l’immobilier a tendance à s’apprécier en valeur avec le temps, offrant ainsi une plus-value potentielle lors de la vente. La location longue durée offre une stabilité des revenus et nécessite moins de gestion en raison du faible turnover des locataires tandis que la location courte durée est potentiellement plus lucrative mais nécessite plus de gestion.

Pour évaluer la rentabilité de votre investissement, il est utile de regarder un exemple concret. Si vous achetez un bien pour 100 000 € et que vous le louez 700 € par mois, votre rendement locatif brut sera calculé comme suit :

  • Loyer annuel : 700 € x 12 = 8 400 €
  • Rendement locatif brut : (8 400 € / 100 000 €) x 100 = 8,4 %

En tenant compte des charges (taxe foncière, charges de copropriété, frais de gestion), supposons que ces charges annuelles s’élèvent à 2 000 € :

  • Rendement locatif net : ((8 400 € – 2 000 €) / 100 000 €) x 100 = 6,4 %

La rentabilité locative varie selon les villes. Par exemple, à Paris, le rendement moyen de 3,5 % en raison des prix d’achat élevés tandis qu’à Lille, le rendement moyen tourne autour de 6,5%

2. L’épargne

L’épargne offre une sécurité financière sans nécessiter de gestion active. Les comptes d’épargne sont souvent assurés par des organismes gouvernementaux, réduisant ainsi le risque de perte de capital. Bien que les rendements soient très souvent faibles, cette méthode est idéale pour sécuriser votre avenir financier avec un minimum d’effort.

Découvrez notre sélection de compte d’épargne qui apportent un fort rendement :

  • Livret A : Taux d’intérêt fixé par le gouvernement, intérêts exonérés d’impôts et de prélèvements sociaux, capital disponible à tout moment.
  • LDDS (Livret de Développement Durable et Solidaire) : Similaire au Livret A avec un taux d’intérêt comparable et des avantages fiscaux identiques.
  • PEL (Plan d’Épargne Logement) : Taux d’intérêt fixe sur une durée déterminée, permet d’obtenir un prêt immobilier à un taux avantageux.
  • CEL (Compte d’Épargne Logement) : Versements et retraits libres, taux d’intérêt légèrement inférieur au PEL, fonds disponibles à tout moment.
  • Livret Jeune : Réservé aux 12-25 ans, offre un taux d’intérêt supérieur au Livret A, avec les mêmes avantages fiscaux.

Sachez que ces types de placements ne sont pas toujours intéressants d’un point de vue investissement. Les taux d’intérêt offerts par ces produits sont souvent inférieurs au taux d’inflation, ce qui signifie que votre pouvoir d’achat diminue avec le temps. Ils conviennent bien pour une épargne de précaution, mais ne sont pas optimaux pour générer de la richesse sur le long terme.

Voici un tableau comparatif des taux d’intérêts des différents livrets et du taux d’inflation en 2024.

Type de livret Taux d’intérêt Taux d’inflation en 2024
Livret A 3% 4%
LDDS 3% 4%
PEL 1% à 2.5% 4%
CEL 1.25% 4%
Livret Jeune 3.5% 4%

3. L’investissement en bourse

Investir en bourse peut fournir des revenus passifs en achetant des actions qui versent des dividendes ou en investissant dans des fonds négociés en bourse (ETFs). Cette méthode permet de profiter de l’appréciation du capital à long terme.

Certains ETFs sont dits “capitalisants” car ils réinvestissent automatiquement les dividendes dans le fonds, augmentant ainsi la valeur de l’ETF sans que l’investisseur ait à le faire manuellement. Cela permet de profiter pleinement des intérêts composés, où les gains générés sont réinvestis pour produire des gains supplémentaires. Réinvestir les dividendes est essentiel pour maximiser les bénéfices des intérêts composés.

Par exemple, si vous investissez 100 000 € à un rendement annuel de 7 % et réinvestissez tous les dividendes, votre capital pourrait atteindre environ 761 225 € après 30 ans.

Cela montre la puissance des intérêts composés sur le long terme.

Voici quelques exemples d’actions et d’ETFs:

  • Actions : Acheter des actions de grandes entreprises comme Apple, Microsoft ou Tesla, qui offrent des dividendes réguliers et ont un potentiel de croissance.
  • ETFs : Investir dans des ETFs comme le Vanguard S&P 500 ETF ou le Invesco Nasdaq-100 Swap UCITS ETF Acc pour une diversification à grande échelle.

Si vous souhaitez plus d’informations sur les méthodes d’investissement en bourse, visitez le site moneyradar.org, le guide de l’investissement des français.

4. Le staking de crypto-monnaies

Le staking consiste à détenir des crypto-monnaies dans un portefeuille spécifique pour soutenir les opérations d’une blockchain, notamment les validations de transactions et la sécurisation du réseau, et à recevoir des récompenses en retour. Ce processus est similaire à l’intérêt que vous pourriez gagner sur un compte d’épargne, mais il se déroule dans l’univers des crypto-monnaies décentralisées.

Le rendement annuel du staking (aussi appelé APY) varie en fonction de la crypto-monnaie et de la plateforme utilisée. Voici quelques exemples de rendements :

  • Ethereum 2.0 (ETH) : Avec la transition vers Ethereum 2.0, les participants peuvent staker leurs ETH pour des rendements annuels de 5% à 10%.
  • Cardano (ADA) : Le staking de Cardano peut offrir des rendements annuels de 4% à 6%.
  • Polkadot (DOT) : Les détenteurs de Polkadot peuvent s’attendre à des rendements de 10% à 12%.

Le staking est relativement passif une fois que vous avez configuré votre portefeuille. Contrairement au trading actif de crypto-monnaies, le staking ne nécessite pas une surveillance constante des marchés. Une fois vos crypto-monnaies mises en jeu, elles génèrent des récompenses automatiquement, bien que certaines plateformes puissent nécessiter un minimum de gestion pour réinvestir les récompenses ou ajuster les paramètres de staking.

5. Le marketing d’affiliation

Le marketing d’affiliation implique de promouvoir des produits ou services d’autres entreprises et de gagner une commission sur les ventes réalisées grâce à un lien d’affiliation. Ce modèle est particulièrement efficace pour les blogueurs, YouTubeurs, et influenceurs sur les réseaux sociaux, qui peuvent gagner des commissions grâce à leur contenu.

L’affilié choisit des produits ou services pertinents pour son audience et obtient des liens d’affiliation uniques à intégrer dans son contenu (articles de blog, vidéos Youtube ou encore posts sur les réseaux sociaux. Lorsque les visiteurs cliquent sur ces liens et effectuent un achat, l’affilié gagne une commission.

Il existe plusieurs modèles de rémunération :

  • Paiement par vente (PPV) : L’affilié reçoit une commission pour chaque vente réalisée via son lien d’affiliation. Les commissions varient généralement de 5 % à 70 % du prix de vente, selon le programme.
  • Paiement par lead (PPL) : L’affilié est payé pour chaque lead généré, comme une inscription à une newsletter ou un essai gratuit.
  • Paiement par clic (PPC) : L’affilié est rémunéré pour chaque clic sur le lien d’affiliation, indépendamment de l’achat.

Voici des exemples concrets de programmes d’affiliation :

Exemples de programmes d’affiliation Détails de rémnuration
Amazon Associates Commissions de 1% à 10% sur les ventes. Large gamme de produits à promouvoir.
ClickBank Commissions jusqu’à 75%. Spécialisé dans les produits numériques.
BigCommerce Paiements de 100 $ à 500 $ pour chaque nouveau client inscrit, plus 10% de commission mensuelle récurrente sur les abonnements.

6. La création de contenu en ligne

Il s’agit d’une des nouvelles manières de générer des revenus passifs. Créer un blog, une chaîne YouTube, ou un podcast peut devenir une source de revenus passifs grâce à la monétisation par la publicité, les articles sponsorisés, et les partenariats. Voici quelques idées de contenus en ligne pour générer des revenus passifs :

  • Publication d’ouvrages littéraires grâce à Amazon KDP
  • Ecriture d’articles de blog monétisables grâce à la publicité sur Google Adsense
  • Vente de cours ou de formations en ligne (via votre propre site Internet ou sur Youtube)

Pour monétiser votre chaîne YouTube, vous devez atteindre au moins 1 000 abonnés et 4 000 heures de visionnage sur des vidéos publiques au cours des 12 derniers mois. Vous pouvez ainsi gagner entre 3 à 5 euros pour 1 000 vues, ce qui équivaut à environ 500 euros pour 100 000 vues mensuelles. La monétisation sur YouTube ne se limite pas aux publicités; elle inclut également les partenariats avec des marques et le marketing d’affiliation, offrant ainsi plusieurs moyens de monétiser votre contenu.

Pour les blogs monétisés via Google AdSense, ces derniers peuvent générer environ 10 à 30 euros par mois pour chaque 1 000 visiteurs uniques. Les blogs populaires avec un trafic important peuvent ainsi rapporter plusieurs milliers d’euros par mois. La monétisation des blogs peut également passer par des articles sponsorisés, des partenariats avec des entreprises, et l’utilisation de liens d’affiliation.

La création de contenu demande un investissement initial en temps et en effort. Cependant, une fois le contenu publié et bien référencé, les revenus peuvent devenir plus passifs, nécessitant seulement des mises à jour occasionnelles.

Le principal risque est l’incertitude quant à l’audience et la monétisation. Il faut souvent du temps pour attirer une audience significative et les revenus peuvent fluctuer en fonction des algorithmes de plateforme et de l’intérêt des abonnés.

7. La vente de produits numériques

La vente de produits numériques permet de créer un produit une fois et de le vendre de manière illimitée sans coûts supplémentaires de production. Vous créez et acquérez des droits sur des produits comme par exemple des eBooks, des logiciels ou encore des musiques. Par exemple, un eBook vendu à 2,99 euros peut rapporter environ 2,05 euros par vente (70% de royalties). Un auteur vendant 100 exemplaires par mois pourrait donc générer environ 205 euros mensuellement.

La création initiale demande du temps et des efforts, mais une fois les produits en ligne, ils peuvent générer des revenus avec peu d’entretien nécessaire. Le risque est considéré comme modéré, car le marché peut être saturé, ce qui rend difficile la vente de nouveaux produits.

8. Le e-commerce ou le dropshipping

Bien qu’ils partagent des similarités, le commerce électronique traditionnel (e-commerce) et le dropshipping diffèrent grandement en termes de gestion des stocks, d’investissement initial et de contrôle de la qualité. Voici un tableau comparatif des principaux critères pour vous aider à comprendre les avantages et les inconvénients de chaque modèle.

Criteres E-commerce Traditionnel Dropshipping
Gestion des stocks Nécessite l’achat, le stockage et la gestion des stocks. Aucune gestion de stock ; le fournisseur s’en charge.
Investissement initial Élevé : coûts d’achat des produits, entrepôt, logistique. Faible : coûts de création de site web et marketing.
Marge bénéficiaire Plus élevée grâce à l’achat en gros et au contrôle des prix de vente. Plus faible car les produits coûtent plus cher en petites quantités.
Qualité des produits Contrôle direct de la qualité et des retours produits. Dépend de la qualité des fournisseurs, peu de contrôle.
Expérience client Plus personnalisée : emballages, délais de livraison contrôlés. Moins de contrôle sur les délais de livraison et la qualité du service.

Nous ne recommandons pas le dropshipping comme modèle d’affaires principal pour plusieurs raisons :

  • Marges bénéficiaires faibles : Les produits achetés auprès des fournisseurs dropshipping coûtent généralement plus cher, réduisant ainsi les marges bénéficiaires.
  • Qualité et service : Vous avez peu de contrôle sur la qualité des produits et les délais de livraison, ce qui peut nuire à la satisfaction client.
  • Compétition accrue : De nombreux dropshippers vendent les mêmes produits, ce qui rend difficile la différenciation de votre marque.
  • Dépendance aux fournisseurs : Votre entreprise est dépendante de la fiabilité de vos fournisseurs, ce qui peut poser des problèmes si ceux-ci ne respectent pas leurs engagements.

9. Le Private Equity

Investir dans des entreprises non cotées en bourse, via des fonds de private equity, permet de soutenir des startups ou des PME en échange de parts de leur capital. Ces investissements peuvent offrir des rendements élevés, bien que le risque soit également plus important.

Les investissements en private equity peuvent offrir des rendements annuels moyens de 8% à 15%, bien que cela puisse varier fortement en fonction de la performance des entreprises dans lesquelles vous investissez.

Ces investissements sont relativement passifs après l’investissement initial, mais nécessitent un suivi périodique et une compréhension des performances des entreprises. Le niveau de risque est élevé, car les investissements dans des startups ou des PME peuvent échouer, entraînant des pertes importantes.

Les fausses bonnes idées

Il est crucial de discerner les véritables opportunités des pièges lorsqu’il s’agit de générer des revenus passifs. Voici deux fausses bonnes idées courantes qu’il faut éviter.

Ne choisir qu’un seul revenu passif

Compter sur une seule source de revenu passif peut également être risqué. Par exemple, si vous ne dépendez que des dividendes d’actions et que le marché boursier s’effondre, vos revenus peuvent chuter par la même occasion. De même, si vous ne comptez que sur la location immobilière et que le marché de l’immobilier subit une crise, vos revenus locatifs peuvent diminuer considérablement ou cesser complètement.

Il est donc essentiel de diversifier vos sources de revenus passifs. Une diversification appropriée vous permet de répartir les risques et d’assurer une stabilité financière même si une source de revenus rencontre des difficultés.

Les solutions miracles

Les solutions miracles promettent des rendements élevés sans effort, mais elles sont souvent trop belles pour être vraies. Par exemple, les robots de trading qui garantissent des rendements de 20% par mois ou les schémas de marketing multi-niveau (MLM), souvent assimilés à des schémas de Ponzi, qui assurent des gains rapides sont souvent des arnaques ou des modèles insoutenables à long terme.

De nombreux investisseurs novices sont attirés par ces promesses de richesse facile, mais la réalité est souvent décevante. Les revenus passifs nécessitent généralement un investissement initial en temps, en argent et en efforts pour mettre en place des systèmes durables. Il est essentiel de rester vigilant et de faire preuve de logique face aux offres qui semblent trop avantageuses.

Comment se préparer à vivre sans travailler ?

Se préparer à vivre sans travailler nécessite une planification minutieuse et une approche bien réfléchie.

1. Évaluer vos besoins

Commencez par définir clairement votre projet de vie. Identifiez ce que vous voulez accomplir et pourquoi vous souhaitez vivre sans travailler. Que ce soit pour avoir plus de temps pour vos passions, passer plus de temps avec votre famille, ou voyager, il est crucial de définir vos objectifs et de comprendre vos motivations. Déterminez ensuite combien d’argent vous avez besoin pour couvrir vos dépenses mensuelles et annuelles. Prenez en compte les coûts de logement, nourriture, transport, santé, loisirs, et autres dépenses personnelles.

2. Constituer un capital

Pour vivre sans travailler, vous devez disposer d’un capital suffisant. Ce capital peut être constitué de différentes sources : épargne personnelle, investissements, héritages, etc. L’idée est de disposer d’un montant qui puisse générer des revenus passifs suffisants pour couvrir vos besoins financiers sans avoir à travailler activement.

3. Élaborer un plan financier

Un plan financier solide est essentiel pour réussir votre projet de vie sans travailler. Ce plan doit inclure :

  • Budget détaillé : Élaborez un budget en listant toutes vos dépenses actuelles et futures. Incluez des marges pour les imprévus.
  • Évaluation des revenus nécessaires : Calculez combien vous avez besoin de générer chaque mois pour couvrir vos dépenses sans travailler.
  • Plan d’épargne et d’investissement : Développez une stratégie pour accumuler et investir votre capital. Cela pourrait inclure des investissements en bourse, en immobilier, ou d’autres actifs générant des revenus passifs.

4. Planifier pour le long terme

Investir dans des actifs à long terme et réinvestir les gains peut renforcer votre situation financière au fil du temps. Utilisez des outils comme des virements automatiques vers des comptes d’épargne pour vous assurer de mettre de l’argent de côté régulièrement.

Les avis et opinions formulés dans cet article ne constituent pas des conseils en investissement au sens des articles L. 321-1 et D. 321-1 du Code Monétaire et Financier, et ne sauraient remplacer un conseil personnalisé prodigué par une personne habilitée à la suite d’une étude approfondie des besoins de son client.