Alors que le marché de l’immobilier en France connait une crise importante dont il peine à sortir, ce n’est pas le cas à Dubaï, depuis quelques années déjà. Comment l’expliquer et est-ce toujours le moment de procéder à des investissements immobiliers ?

Investissement à Dubaï : pourquoi un tel engouement ?

Il est évident que la crise de l’immobilier en France et en Europe n’incite pas les investisseurs à mettre leur argent dans ce type de produit. Mais cette situation n’existe pas partout et Dubaï semble encore un El Dorado en la matière. Pourquoi ? Les raisons sont simples et plurielles. On peut citer par exemple un parcours d’achat nettement plus simple vis-à-vis de ce qui se pratique en Europe et notamment en France. Quelques heures suffisent pour devenir propriétaires, alors que cela demande de longs mois en France.

Alors que ce n’était pas le cas il y a encore vingt ans, les achats se font à Dubaï en pleine propriété. En termes de rendement ; élément important quand on entend faire de l’investissement locatif ; il est très intéressant puisqu’il peut avoisiner les 12%. Le mode de location ou encore le type de bien influent, bien entendu, sur ce pourcentage. Autre avantage à mettre en avant : le fait que les impayés n’existent quasiment pas et qu’il est tout à fait autorisé de faire de la location à court terme.

Pas la peine de passer par un établissement bancaire et de payer des intérêts pour un crédit, puisqu’il est possible de financer son bien par le biais des promoteurs immobiliers directement. Avec 500 000 euros, un investisseur peut prétendre à une villa de 4 chambres de haut standing. Et il suffit de 120 000 euros pour un studio en plein cœur de la ville.

L’investissement immobilier à Dubaï est-il encore une bonne idée ?

On pourrait croire que Dubaï n’a pas vocation à se développer davantage et c’est pourtant tout le contraire, si l’on en croit les plans du gouvernement. On prévoit ainsi un doublement de sa population, ce qui induit des besoins forts dans l’immobilier d’ici à 2040. Même en centre-ville, dans des quartiers qui sont déjà intéressants, on peut acheter pour moins de 200 000 euros un appartement de 80m² ; sachant que d’autres sont en plein développement.

Des sites comme stoneinvest.ae permettent de découvrir tous les programmes neufs disponibles et d’obtenir des renseignements et conseils pratiques pour investir dans l’immobilier de Dubaï.

Quid de la fiscalité

Pas d’impôt foncier et pas d’impôt sur le revenu : rien n’est fait à Dubaï pour grever les rendements des investisseurs qui, rappelons-le, peuvent aller de 7 à 12% en moyenne. Il est donc tout à fait possible de se diversifier, mais aussi d’envisager des stratégies de croissance ; ce qui serait difficilement possible en France, par exemple, en l’état actuel des choses à moins d’avoir des moyens financiers énormes.

Quel type de location choisir ?

Que ce soit à destination des professionnels expatriés (location de longue durée) ou des touristes qui veulent admirer la Burj Khalifa et le faste de Dubaï, tout est en ce moment porteur. La location saisonnière permet sans doute plus d’ajuster les prix demandés pour un bien, mais tout est affaire de calcul en fonction de son profil d’investisseur. Il est également possible d’investir à Dubaï, pour en faire une résidence secondaire.

Pour finir ; quel que soit le projet d’investissement immobilier, Dubaï est depuis quelques années et pour quelques décennies encore, une solution à envisager. Elle n’a rien perdu de son attractivité du point de vue économique et touristique et la demande en termes de location risque d’être encore forte pendant de nombreuses années. Pourtant, l’augmentation du prix au mètre carré ayant débuté dans certains quartiers, il ne faut sans doute plus hésiter et investir sans tarder, pour que cela reste avantageux à l’achat.

A retenir : Si l’année 2022 a déjà été incroyable en termes d’investissement immobilier, ce n’est rien par rapport aux chiffres de l’année dernière (+40% de ventes en plus). Rien que l’an dernier, les transactions immobilières à Dubaï ont représenté plus de 62 milliards d’euros. Certains quartiers cotés ont vu le prix au m² augmenter de plus de 15%, voire davantage !