Quelle est la meilleure formule pour vous ?
En général, on distingue 3 formules possibles chez les assureurs concernant les voitures. La formule « au tiers » est la plus basique. Elle contient des éléments de risque socle, mais ne couvre certainement pas tous les dégâts ; raison pour laquelle c’est la moins chère de toutes. C’est, pour le prix, le plus souvent, celle qui est choisie par les automobilistes désargentés.
La formule en tous risques, la troisième, au contraire, assure très bien le véhicule, le conducteur, mais aussi les tiers. Conséquence : elle est beaucoup plus onéreuse et les cotisations mensuelles peuvent s’envoler. C’est parce que l’une ne couvre pas assez et que l’autre est très chère que beaucoup de personnes se tournent vers l’option intermédiaire ; c’est-à-dire avec des garanties complémentaires.
Attention, toutes les compagnies d’assurance ne la proposent pas, ne laissant le choix à l’automobiliste qu’entre la prise en charge de base et celle qui représente un coût important ; soit un choix vraiment limité. Seule possibilité, alors : se tourner vers des structures spécialisées pour obtenir un contrat vraiment sur-mesure et personnalisé. Cette formule comprend le socle de base, sans lequel on ne parle pas vraiment d’assurance traditionnelle. Celui-ci qui est donc dans la première formule est la seule assurance qui soit obligatoire.
Mais on ajoute à cela des garanties que l’on peut souscrire en fonction des besoins propres du conducteur, ce qui fait augmenter le montant des cotisations. Mais l’automobiliste a ainsi l’assurance d’être mieux couvert, sans pour autant payer le prix le plus fort. C’est par exemple, la bonne formule à souscrire quand, après quelques années en tous risques parce que la voiture était neuve, on souhaite baisser de gamme, à cause de la décote du véhicule.
Quelles sont les options possibles avec un contrat auto intermédiaire ?
Renforcer la protection du véhicule, c’est le but de ces options que l’on souscrit en fonction de son profil de conducteur, l’endroit où l’on réside parfois ou encore le type de véhicule. La garantie optionnelle qui ne fait pas partie du socle de base ; ce qui peut sembler étonnant ; et qui est généralement prise est le bris de glace. On peut également citer les catastrophes naturelles.
Avec le réchauffement climatique, certaines régions sont touchées fréquemment par des crues soudaines ou encore des tempêtes de grêles. Tout cela peut gravement endommager une voiture, voire la détruire. Personne ne peut nier sans doute que les pannes mécaniques contribuent à faire de la voiture un gouffre financier. Il est possible d’obtenir un remboursement partiel ou total de certaines d’entre elles avec une garantie optionnelle dédiée.
En attendant que la voiture soit de nouveau en état de rouler (ou suite à un vol), le conducteur se retrouve sans moyen de locomotion, à moins qu’il ait opté pour la garantie « véhicule de remplacement ». Dans le cas de l’option « panne 0km », l’assureur fait la démarche d’aller chercher son client, par le biais d’un prestataire, où qu’il se trouve, pour le ramener à bon port chez lui.
La protection sur le contenu du véhicule peut-être intéressante. Cela suppose qu’en cas de vol ou suite à un accident, tout ce que contenait la voiture puisse faire l’objet d’une indemnisation par le cabinet d’assurance. Pouvoir espérer le remboursement de son véhicule au prix où on l’a acheté ; si cet achat date de moins de trois ans, c’est également possible chez certains assureurs, si la voiture fait l’objet d’un vol ou qu’elle est endommagée.
Il ne faut pas sous-estimer l’importance du vol d’éléments constitutifs de la voiture ; comme ses jantes, par exemple ou encore des phares additionnels que le conducteur a pu faire poser et qui ont suscité à tel point la convoitise qu’ils ont été dérobés. Enfin, même si cela reste heureusement rare, on peut, avec une option, se prémunir contre le risque d’attentat et les actes de terrorisme impliquant son véhicule.